[Spectacle en famille] Le carnaval de la Petite Taupe

Ce n’est que récemment que nous avons découvert les spectacles pour enfants à l’Auditorium de Lyon. Il faut dire que je ne suis pas très passionnée pour la musique qui n’est pas rock/metal et je n’avais jamais réellement regardé le programme ni les tarifs. Il faut donc remercie papaKoala pour cette découverte.

Debout mai, nous sommes donc allés tous les quatre voir le Carnaval de la Petite Taupe, un spectacle pour les enfants dès 3 ans.

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Nous avons pu regarder 5 courts-métrages de la Petite Taupe (La Petite Taupe et le Parapluie – La Petite Taupe jardinier – La Petite Taupe et le Carnaval – La Petite Taupe et la Sucette – Le Noël de la Petite Taupe) accompagnés par les musiques de l’orgue, joué en salle par Paul Goussot, par le doublage de Damien Laquet (la voix officielle des Lapins Cretins. BebeKoala en a parlé longtemps à ses copains!) et par les bruits effectués par Julien Baissat.

Les enfants ont pu découvrir le lien entre les images et l’oeuvre de ces trois artistes. MiniKoala n’a pas bien suivi, il s’est juste contenté de regarder les dessins animés. BebeKoala était déjà plus intéressé.
En tout cas, c’était une chouette façon de découvrir l’Auditorium et on y retournera surement l’année prochaine.

Mais c’est qui la Petite Taupe? 
C’est en 1957, en trébuchant sur une taupinière lors d’une promenade en forêt, que Zdeněk Miler imagina la Petite Taupe, qui devint rapidement le personnage le plus célèbre du dessin animé tchèque. Jusqu’en 1994, il réalisa plus d’une vingtaine d’épisodes mettant en scène l’adorable animal et ses fidèles amis. Aujourd’hui encore, Krtek (c’est son nom en version originale) reste l’idole des enfants tchèques, avec à Prague plusieurs magasins spécialisés ! (credits Auditorium)

 

[Spectacle en famille] Remi : La fete des comptines

Ce dimanche j’ai eu l’occasion d’amener les enfants voir le dernier spectacle de Remi : La fete des comptines.

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Vous êtes tous conviés à la Fête des Comptines, avec Rémi : un spectacle familial pour chanter ensemble les plus grands tubes des petits – ah les crocodiles, les petits poissons, un grand cerf…-, et s’amuser avec les chansons inédites du nouvel album. On y découvre les instruments de musique, une séance de yoga, les moyens de transport et même un grand carnaval ! Les enfants miment, chantent, dansent et peuvent même monter sur scène !

Inutile de dire qu’ils ont adoré, meme BebeKoala qui, du haut de ses presque 6 ans, était peut etre un peu limite comme age (sur le site ils indiquent jusqu’à 6/7 ans) .
MiniKoala a tout de suite participé au spectacle en mimant les crocodiles, les instruments de musique, les petits poissons, etc etc…
BebeKoala de temps en temps me disait « ah, mais je la connais cette chanson, on l’a chanté à l’école! » et quand Remi a commencé à donner des chapeaux rigolos aux parents il s’est enfin laissé emporter par le spectacle. C’est qu’il est lent à la détente lui (et on ne sait jamais s’il est content ou pas) .
Puis nous avons fait des grimaces, du yoga, presque tous les enfants sont montés sur scène et pour terminer ils ont joué avec des gros ballons.

En sortant ils ont voulu acheter le livre + cd du spectacle, ainsi qu’un sur le pot pour MiniKoala. Par contre, ils n’ont pas réussi à patienter et à attendre leur tour pour demander à Remi de les signer. BebeKoala m’a dit qu’on lui demander la prochaine fois, donc j’imagine qu’il a vraiment apprécié le spectacle s’il veut y retourner.

C’était donc un joli moment en famille que je conseille vivement.
En plus des spectacles habituels à la Comedie Bastille, pour les parisiens, il est en tour dans toute la France et il sera aussi au Festival d’Avignon.

Samedi en musique #78

Une chanson sur l’Italie. Même si  Ligabue a oublié  Gènes,  je ne vais pas me fâcher cette fois-ci.
Paris l’album Made en Italy, le chanteur (qui est aussi réalisateur) a sorti son troisième film du même titre, avec Stefano Accorsi dans le rôle de Riko, le personnage principal (j’en parle seulement parce que je sais que Stefano Accorsi est connu aussi en France grâce à son ex-femme Laetitia Casta et aux films La faute à Fidel, La jeune fille et les loups, Tous les soleils)

 

 

Milano ci accoglie a braccia conserte
Un mezzo sorriso d’Europa
Bologna ha nel cuore una vecchia stazione e canzoni d’amore del dopo
Venezia che affonda, bellezza che abbonda
Abbonda a Torino il mistero
In centro a Firenze una tipa che danza e celebra la primavera
C’è un treno che non ferma mai, non cambia mai, non smette mai
È un treno che non è mai stato una volta in orario
Tutte queste vite qui
Qui nel made in Italy
Quel po’ di male al cuore
E Roma si spacca e si ricompone
Non è come noi la pensiamo
C’è un vecchio barbone che ci offre da bere
Poi ride per quelli che siamo
E Napoli è un’isola sempre e per sempre
E tu che mi abbracci più forte
Mi chiedi di cosa siamo composti
Che tanto sai già la risposta
C’è un treno che non ferma mai, non cambia mai, non smette mai
È un treno che non è mai stato una volta in orario
Tutte queste vite qui
Qui nel made in Italy
Sotto queste lune qui
Tutti made in Italy
Belli come il sole
E Bari e a Palermo fra cielo ed inferno
Non sempre puoi fare una scelta
Il mare che spinge, la costa che stringe
L’insegna, c’era una volta
È un treno che non ferma mai, non cambia mai, non smette mai
È un treno che non è mai stato una volta in orario
Tutte queste vite qui
Qui nel Made in Italy
Sotto queste lune, qui
Tutti made in Italy
Belli come il sole

C’était ma participation à Samedi en musique proposé par BBB’s mum sur son blog .

Samedi en musique #77

Bientôt la fête des mères, mais aussi et surtout)  mon anniversaire. Alors pour ce Samedi en Musique j’ai envie de me faire plaisir avec THE chanson, celle que ma maman me chantait toute petite et que j’affectionne particulièrement: La Ballata del Miché de Fabrizio DeAndré.

Elle a été écrite en 1961 et il la considère comme une de ses premières, celle qui l’a vraiment convaincu à choisir la musique plutôt que le droit et la loi, comme voulait sa famille.
Fabrizio DeAndré s’inspire d’une histoire vrai, celle de Michele Aiello (Miché) qui était parti du Sud de l’Italie pour s’installer à Gènes. Il n’arrivait pas à s’intégrer dans la nouvelle ville et c’était l’amour d’une femme qui lui laissait de l’espoir, mais l’arrivé d’un autre homme (probablement plus riche que lui) l’a fait plonger dans la peur de tout perdre et il l’a tué. A la suite de cela, il a été condamné à 20 ans de prison, mais il s’est pendu car il ne voulait pas rester loin de la femme qu’il aimait.
Je me demande à quoi pensait ma mère en me chantant cette chanson, très jolie certes, mais vraiment pas gaie du tout.

 

Et voici la traduction en français que j’ai piqué au site Antiwarsong.org.

LA BALLADE DE MICHEL

Quand ils ont ouvert sa cellule
Il était déjà trop tard car
Avec une corde au cou
Michel pendait froid.

Toutes les fois que j’entends
Chanter un coq, je pense
à cette nuit en prison
Où Michel se pendit.

Cette nuit-là, Michel
s’est pendu à un clou, car il ne voulait pas
rester vingt ans en prison
loin de toi

Michel s’en est allé dans l’obscurité
Sachant qu’il ne pourrait jamais te dire
qu’il avait tué
Seulement pour toi.

Moi, je sais que Michel
A voulu mourir pour que
Te reste le souvenir de l’amour profond
Qu’il avait pour toi.

Ils lui avaient mis vingt ans.
La cour décida ainsi
Car un jour il avait tué
Celui qui voulait lui prendre Marì

Ils l’avaient pour cela condamné
à vingt ans en prison à moisir
mais maintenant qu’il s’est pendu
Ils devront le laisser sortir.

Si toutefois Michel
Ne t’a pas écrit expliquant pourquoi
Il s’en est allé du monde, tu sais qu’il l’a fait
Seulement pour toi.

Demain à trois heures,
Il sera dans la fosse commune
Sans messe et sans curé
Car ils n’ont aucune pitié d’un suicidé.

Demain Michel
Sera dans la terre détrempée
Et quelqu’un plantera au-dessus de lui
Une croix avec son nom et la date
Et quelqu’un plantera au-dessus de lui
Une croix avec son nom et la date

C’était ma participation à Samedi en musique proposé par BBB’s mum sur son blog .

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Samedi en musique #75

Dernièrement j’ai un peu négligé mon pauvre blog, mais voilà que les bonnes habitudes reviennent. Hier je parlais avec des copines des chansons que nous avions dédiées à nos enfants et je me suis rendue compte que je n’en ai pas. J’ai des chansons que je leurs chante pour s’endormir (de plus en plus rarement car BebeKoala ne veut plus), mais pas vraiment une chanson spécifique par enfant.

Si je pense à BebeKoala, je pense à sa période du NON (qui dure encore aujourd’hui à 4 ans et demi) et à la chanson « Non, non non » de Camélia Jordana que papa Koala avait sorti pour le calmer, en se moquant un peu de lui.

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Non, non, non (écouter Barbara) (Clip officiel) (Official Video) by Camélia Jordana on VEVO.

 

Depuis je pense qu’il a compris le message car dès qu’il commence avec ses non, je me mets à chanter et lui me demander de m’arrêter tout en arrêtant son opposition. Bon, ça ne marche pas à chaque fois, mais c’est déjà pas mal.

 

C’était ma participation à Samedi en musique proposé par BBB’s mum sur son blog .

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Samedi en musique #74

Le printemps est arrivé, ou plutôt l’été au vue des températures estivales (30 degrés en avril c’est fou!), alors aujourd’hui j’ai envie de partager une chanson pleine de soleil et de joie: Brighter than the sun de Colbie Callat.

 

La chanson parle de sa relation avec son copain et elle a eu un vrai succès dès sa sortie, en 2011.  Je l’avais découverte lors des scènes finales d’un film, mais impossible de me souvenir lequel (mon ami Wikipedia dit One for the Money ou Recherche bad boy désespérément  , mais je n’ai pas souvenir de l’avoir vu. C’est possible, mais il ne m’a pas marqué).

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Samedi en musique #73

Demain ce sera cinq ans que mon papa nous a quitté. Bizarrement, plus le temps passe plus il me manque. J’ai de plus en plus de souvenirs et des moments qui me font penser à lui. Peut être qu’avant je n’avais pas eu le temps de bien élaborer son absence?
Pour ce samedi en musique, du coup, une chanson père-fille parce que même s’il n’est plus là, je suis celle que je suis aujourd’hui surtout grâce à lui.
Ci svegliavi con un bacio e poi
te ne andavi a letto mentre noi
correvamo in quella scuola che
ci dicevi « insegna a vivere »
ma la vita l’hai insegnata tu
ogni giorno un po’ di piu’
con quegli occhi innamorati tuoi
di due figlie matte come noi
cosa non darei perche’ il tempo
non ci invecchi mai
ho imparato a cantare insieme a te
nelle sere d’estate nei caffe’
ho imparato il mio coraggio
e ho diviso la strada e l’allegria
la tua forza la tua malinconia
ogni istante ogni miraggioâ?¦
per le feste tu non c’eri mai
mamma apriva i pacchi insieme a noi
il lavoro ti portava via
la tua solitudine era mia
cosa non farei per ridarti il tempo perso ormai
ho imparato ad amare come te
questa vita rischiando tutta me
ho imparato il tuo coraggio
e ho capito la timida follia
del tuo essere unico perche’
sei la meta del mio viaggio per me
e cosi’
sempre di piu’
somiglio a te
nei tuoi sorrisi
e nelle lacrime?
ho imparato il tuo coraggio
e ho imparato ad amare e credere
nella vita rischiando tutta me
e ho diviso questo viaggio con te
io con te
ho imparato il mio coraggio?
mi risveglio in questa casa mia
penso a quando te ne andavi via
e anche adesso cosa non farei
per ridarci il tempo perso ormai

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Samedi en musique #72

La locomotiva (Radici – 1972) est une des chansons les plus connues de Francesco Guccini. Pendant presque 40 ans, il l’a chanté à la fin de chacun de ses concerts .
La chanson raconte un fait qui s’est vraiment déroulé: en 1893 le conducteur de train et anarchiste Pietro Rigosi, 28 ans marié et avec deux enfants,  prend la locomotive d’un train de fret et il se dirige vers la gare de Bologna. Les aiguilleurs arrivent à le dévier sur un quai où il va s’écraser contre un train de fret.
Il n’a jamais vraiment expliqué les raisons de son acte, mais au vue de ses idées on pense que c’était un geste de proteste contre les conditions de travail et les injustices sociales. La presse, de son coté, en parla comme du geste d’un fou.

Guccini préfère la première explication et il le transforme en un symbole de la lutte de classe.

Une fois n’est pas coutume, j’ai même la traduction du texte en français (merci au site Antiwarsong.org) :

Je ne sais pas comment il était, ni comment il s’appelait,
De quelle voix il parlait, ou de quelle voix il chantait,
Combien d’années il avait vu à ce temps,
S’il était blond ou s’il était brun,
Mais son image à lui, dans moi elle est gravée,
Un symbole de jeunesse et de beauté,
Un symbole de jeunesse et de beauté,
Un symbole de jeunesse et de beauté.

Mais je sais bien quand ça s’est passé, où il travaillait
Au début de ce siècle, mécanicien de chemin de fer!
Le temps où allait commencer
La guerre sainte des gueux,
Le train aussi semblait un mythe du progrès
S’élançant sur les continents,
S’élançant sur les continents,
S’élançant sur les continents.

Et la locomotive paraissait un monstre si violent,
Que l’homme dominait de sa main et de sa ment,
Elle abattait, en rugissant comme un lion,
Des distances dont on ne voyait pas la fin!
Elle semblait avoir une force maudite,
La force même de la dynamite,
La force même de la dynamite,
La force même de la dynamite!

Une autre grande force allait déployer ses ailes,
C’étaient des mots disant: Tous les hommes ont la même loi,
Et les tyrans, et le rois
Dans les rues sautaient dans l’air!
C’était l’éclat sans cesse de la bombe proletaire,
Le flambeau de l’anarchie!
Le flambeau de l’anarchie!
Le flambeau de l’anarchie!

Tous les jours un train passait par la gare où il travaillait,
Un train de luxe, il ne savait pas où il allait,
Y voyageaient des gens de haut parage,
Il les r’gardait d’un œil bien fou de rage
En pensant aux jour pénibles de ses amis, de ses chers,
En lorgnant ce train plein de millionnaires,
En lorgnant ce train plein de millionnaires,
En lorgnant ce train plein de millionnaires.

Je ne sais pas pourquoi il prit cette décision,
Peut-être, la rage ancienne de générations sans nom
Qui crièrent vengeance
En lui aveuglant le cœur!
Il oublia sa pitié, il oublia sa bonté,
Sa bombe était la machine à vapeur,
Sa bombe était la machine à vapeur,
Sa bombe était la machine à vapeur.

Et la locomotive dormait sur sa voie luisante
Avec ses pulsation, la machine semblait vivante,
Un jeune poulain, v’là ce qu’ell’ semblait,
Après qu’ la bride on lui a laché,
Mordant la raille avec ses muscles d’acier,
Avec la force aveugle d’un éclair,
Avec la force aveugle d’un éclair,
Avec la force aveugle d’un éclair.

Un jour comm’ tous les autres, peut-être avec encore plus de rage,
Il pensait qu’il pouvait venger ce très injuste outrage;
Bien qu’il fût à la peur en proie
Il monta sur le monstre dormant sur la voie;
Mais avant qu’il se rendait compte de ce qu’il avait fait
déjà le monstre la plaine brûlait,
déjà le monstre la plaine brûlait,
déjà le monstre la plaine brûlait.

L’aut’ train courait tranquille, presque sans hâte d’arriver,
Personn’ n’imaginait q’ la vengeance était aux aguets,
Mais à la gare de Bologne
Arrivent des nouvelles alarmantes:
« C’est un cas d’urgence! Faut pas perdre du temps!
Un fou vient d’ s’élancer contre le train!
Un fou vient d’ s’élancer contre le train!
Un fou vient d’ s’élancer contre le train! »

Mais la locomotive court, court sans s’arrêter!
Le siffle de vapeur se répandant dans l’air
Semble qu’il dise aux paysans
Courbés à leur travail sur le champ:
« Mon frère, n’aie crainte! Je cours à mon devoir!
Triomphe la justice proletaire,
Triomphe la justice proletaire,
Triomphe la justice proletaire! »

Et la locomotive court, court plus vite encore,
Et court, court, court, court à la mort,
Et rien ne peut plus retenir
L’immense force destructrice,
Il n’attend que l’éclat et puis le manteau
De la grande Consolatrice,
De la grande Consolatrice,
De la grande Consolatrice.

L’histoire nous raconte la fin de ce voyage:
La machine fut aiguillée sur une voie de garage.
Avec son dernier cri elle érupta
Comme un volcan sa lave elle jeta
Et sauta dans le ciel, on alla le sécourir
Avant qu’il n’ rende son dernier soupir,
Avant qu’il n’ rende son dernier soupir,
Avant qu’il n’ rende son dernier soupir.

Mais nous voulons encor’ penser à lui derrièr’ le moteur
Pendant qu’il fait courir la machine à vapeur!
Encor’, qu’il nous arrive
D’une locomotive
La nouvell’ flamboyante qu’ell’ va quérir sa tombe
Contre toute injustice, comme une bombe,
Contre toute injustice, comme une bombe,
Contre toute injustice, comme une bombe!

 

« Bolognesi! Ricordatevi: Sting è molto bravo, però tenetevi il vostro Guccini. Uno che è riuscito a scrivere 13 strofe su una locomotiva, può scrivere davvero di tutto. » (Giorgio Gaber)

C’était ma participation à Samedi en musique proposé par BBB’s mum sur son blog .

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Bref, #jesoutienslagrèvedescheminots mais aussi toutes les autres.

Samedi en musique #71

Une chanson en français pour une fois!
J’ai découvert Renaud en 2006, alors de mon Erasmus à Lyon. Le professeur de français langue étranger de la fac a utilisé cette chanson, Manhattan-Kaboul, pour nous faire un cours de langue.  Jusqu’à ce moment là je crois que je connaissais seulement Edith Piaf comme artiste français, oups.

C’était ma participation à Samedi en musique proposé par BBB’s mum sur son blog .

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